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Regards sur les pôles
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11 mai 2007

Nous présentons ici des organismes de recherche

Nous présentons ici des organismes de recherche et/ou de formation importants qui œuvrent dans le domaine des pôles de compétitivité.   

CEA   

CNRS   

IFREMER   

INRA   

INRIA   

INSERM

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CEA (70) (71)

CEA

Le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) est un organisme de recherche public français (dans les domaines de l'énergie, de la défense et des technologies de l'information et de la santé) implanté sur 9 sites en France.   

Les principaux centres d'études sont à Saclay, en Île-de-France, à Cadarache en Provence et à Grenoble.   

Le CEA, dont le statut est celui d'un établissement public à caractère scientifique, technique et industriel, a pour mission de développer les applications de l'énergie nucléaire dans les domaines scientifique, industriel, et de la défense nationale.   

Il emploie environ 15 000 salariés.   

Son budget annuel est de 2,7 milliards d'euros.   

Organisation   

Il est organisé en cinq grandes directions (par ordre décroissant d’effectifs):   

- direction de l'énergie nucléaire   

- direction des applications militaires   

- direction de la recherche technologique   

- direction des sciences de la matière   

- direction des sciences du vivant   

Le CEA est l'actionnaire majoritaire d'Areva, société chapeautant la Areva NC (ex-Cogema) et Areva NP (ex-Framatome).   

Le CEA est également actionnaire de CEA Valorisation S.A. société spécialisée dans l'investissement en capital de pré-amorçage et dans la commercialisation de licences.   

Histoire   

Le CEA est créé le 18 octobre 1945 par Charles de Gaulle avec à sa tête Frédéric Joliot-Curie (haut-commissaire à l’énergie atomique) et Raoul Dautry (administrateur général).   

Cet organisme est destiné à poursuivre des « recherches scientifiques et techniques en vue de l’utilisation de l’énergie nucléaire dans les domaines de la science, de l’industrie et de la défense nationale » (article premier du décret du 18 octobre 1945).   

La pile Zoé, une pile atomique à eau lourde construite par l’équipe de Joliot-Curie au fort de Châtillon (à Fontenay-aux-Roses), diverge en 1948.   

Joliot-Curie, qui est membre du parti communiste français, lance l’appel de Stockholm contre la bombe atomique.   

En avril 1950, il est révoqué de son poste de haut-commissaire par Georges Bidault.   

Francis Perrin le remplace.   

Après le départ de Joliot-Curie, le CEA, jusque là dominé par les scientifiques et la recherche fondamentale, se lance dans les applications militaires et civiles de l’énergie atomique. Même si le gouvernement n’a pas encore pris la décision de construire une bombe atomique, tout est mis en œuvre pour se doter des moyens de la construire.   

En 1952, le centre d’études nucléaires de Saclay est ouvert sur un terrain de 271 hectares en plein plateau de Saclay.   

À Marcoule, sont successivement construits les réacteurs G1 (1956), G2 (1959) et G3 (1960) de type Uranium Naturel-Graphite-Gaz (UNGG). Une usine pour extraire le plutonium du combustible usagé est également construite. Grâce à ces installations, la France peut réaliser son premier essai nucléaire dans le Sahara en 1960, seulement deux ans après que la décision officielle ait été prise.   

À Pierrelatte, une usine d’enrichissement de l'uranium à usage militaire est construite.   

À Chinon, le CEA et EDF collaborent à la construction des réacteurs EDF 1 (1962, 68 MW), EDF 2 (1965, 200 MW) et EDF 3 (1967, 500 MW) de type UNGG.   

La guerre des filières oppose le CEA et EDF : le premier est partisan de la filière française Uranium Naturel Graphite Gaz tandis que le second défend la filière des réacteurs à eau pressurisée (Pressurised Water Reactor) d’origine américaine.   

En décembre 1969, le gouvernement tranche en faveur d’EDF et décide la construction d’une centrale à eau pressurisée à Fessenheim.   

En 1973, la première centrale prototype réacteur nucléaire à neutrons rapides et à caloporteur sodium Phénix est mise en service à Marcoule.   

En 1976, le gouvernement français passe commande de Superphénix.   

En 1985, la centrale nucléaire de Brennilis, prototype modéré par l'eau lourde, est arrêtée définitivement.   

En 1997, le gouvernement français annonce que Superphénix sera abandonné.   

Les centres de recherche du CEA   

Applications civiles   

Cadarache (Bouches-du-Rhône) : recherches sur l'énergie nucléaire, fission et fusion.   

Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine) : recherches en sciences du vivant et en robotique.   

Grenoble (Isère) : recherches en microélectronique, matériaux et nouvelles technologies de l'énergie   

Saclay (Essonne) : recherches sur l'énergie nucléaire, recherche fondamentale (en particulier, astrophysique), enseignement (INSTN).   

Valrhô, sites de Marcoule (Gard) et Pierrelatte (Drôme) ; recherches sur le cycle du combustible, les déchets radioactifs. Depuis le 10 avril 2005, un parcours de découverte et d'information sur la radioactivité, nommé le Visiatome, a ouvert ses portes au public à Marcoule.   

Applications militaires   

Cesta, Le Barp (Gironde) ; le centre d'études scientifiques et techniques d'Aquitaine est dédié à la militarisation des armes.   

Le Ripault (Indre-et-Loire) ; études sur matériaux non-nucléaires (explosifs chimiques).   

Valduc (Côte-d'Or) ; étude de neutronique et de criticité.   

DAM Île-de-France, Bruyères-le-Châtel (Essonne) ; études scientifiques en vue de la préparation d'engins expérimentaux.   

Site de Moronvilliers, sur la commune de Pontfaverger-Moronvilliers (Marne) ; Ce site est rattaché au DAM Île-de-France. Radiographie d'explosions nucléaires modélisées, par la machine Airix dont il n'existe qu'un seul autre exemplaire dans le monde : le DARHT situé à Los Alamos, États-Unis.   

Vaujours : le fort de Vaujours a abrité un centre de la DAM jusqu'en 1997.   

Les pôles où intervient le CEA :


Observatoire_des_p_les_Images_Page_08

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CNRS

CNRS

Le Centre national de la recherche scientifique, plus connu sous son sigle CNRS, est le plus grand organisme de recherche scientifique public français.   

C'est un organisme de recherche fondamentale fondé le 19 octobre 1939, à la suite d'une fusion entre la Caisse nationale de la recherche scientifique et l'Office national des recherches scientifiques et des inventions. Il fut réorganisé après la Seconde Guerre mondiale et s'orienta alors nettement vers la recherche fondamentale.   

Historique   

En 1966, création d'unités associées. Il s'agit de laboratoires universitaires, soutenus par le CNRS, grâce à ses moyens humains et financiers.   

En 1967, création de l'Institut national d'astronomie et de géophysique, qui deviendra en 1985 l'Institut national des sciences de l'univers (INSU).   

En 1971, création de l'Institut national de physique nucléaire et de physique des particules (IN2P3).   

En 1982, la loi du 15 juillet, dite Loi Chevènement de programmation des moyens de la recherche publique, décrète que les personnels chercheurs, ingénieurs techniciens et administratifs passent sous le régime de la fonction publique : ils deviennent fonctionnaires.   

Rôle et organisation   

On peut distinguer trois rôles fondamentaux du CNRS dans la recherche:   

- le CNRS fédère 1200 unités de recherche, dont 90 % lui sont "associées", en cotutelle avec d'autres organismes ou des universités. Il participe à leur budget et à leur dotation en personnel, parfois à leurs locaux. Le Comité national du CNRS évalue régulièrement ces unités de recherche, cette évaluation conditionne son apport financier, et peut donner lieu à la réorganisation ou à la rupture du contrat d'association avec l'unité.   

- le CNRS est employeur de chercheurs, ingénieurs et techniciens, qui travaillent en règle générale dans les unités de recherche du CNRS ou associées. Certains peuvent être également "mis à disposition" dans le cadre d'un projet de recherche. Ils sont évalués par le Comité national tous les deux ans. La terminologie utilisée ne permet pas de distinguer clairement si ce sont "les recherches" ou "les chercheurs" qui sont évalués.   

- le CNRS sélectionne et finance des projets de recherche spécifique, auquel des chercheurs de tous statuts sont habilités à prendre part.   

Ce triple rôle contribue à la difficulté de définir la part du CNRS dans la recherche en France.   

En pratique, un chercheur "au CNRS" travaille très souvent dans un laboratoire d'une université, n'importe où en France ; généralement il mentionnera plutôt son laboratoire d'accueil que le CNRS comme affiliation dans ses publications.   

Inversement, des chercheurs pourront se réclamer du CNRS dans leurs titres et publications alors qu'ils n'en font pas statutairement partie mais qu'ils collaborent à une unité associée au CNRS.   

Il faut aussi distinguer la recherche financée par le CNRS, et celle des chercheurs du CNRS.   

Enfin, du fait en particulier de l'intégration du CNRS et de la recherche universitaire, les résultats de la recherche seront souvent le fruit d'une collaboration entre chercheurs du CNRS et d'autres organismes, ou universitaires.   

Ces dernières années, la politique suivie a été d'augmenter la part des associations entre le CNRS et les Universités, ce qui a contribué à accroitre la confusion des rôles et a entraîné une certaine pression corporatiste de la part des professeurs d'Université.   

L'"Habilitation à Diriger des Recherches", organisée par les Universités, tend à devenir un point de passage obligé dans la promotion des chercheurs du CNRS.   

Enfin, le CNRS ne couvre pas tous les domaines de recherche; la recherche médicale, par exemple, relève de l'INSERM.   

Les domaines de recherche   

Tout en se penchant sur tous les domaines de la connaissance, il est administrativement découpé depuis 2006 en six départements:   

- mathématiques, physique, planète et univers (MPPU)   

- chimie   

- sciences du vivant   

- sciences humaines et sociales   

- environnement et développement durable   

- ingénierie.   

Les départements gèrent la politique scientifique de leur domaine.   

Le Comité national de la recherche scientifique   

C'est l'instance du CNRS chargée de l'évaluation de la recherche scientifique des unités de recherche habilitées par le CNRS, ainsi que, individuellement, de chaque chercheur employé par le CNRS.   

Il est divisé en 40 sections, plus 7 sections interdisciplinaires, focalisées sur des domaines de recherche.   

Chaque section est composée d'une vingtaine de membres, qui sont spécialistes du domaine scientifique concerné, et viennent de différents horizons (chercheurs au CNRS, dans d'autres EPST ou EPIC, dans le secteur privé, enseignants-chercheurs, chercheurs étrangers...).   

Un tiers d'entre eux est nommé par le ministère de la Recherche, deux tiers sont élus par l'ensemble des personnels de recherche du domaine (chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs, personnels techniques et d’administration des organismes publics et universités français), afin de permettre un contrôle des orientations scientifiques et de garantir l'indépendance de la recherche.   

Il n'existe pas de code déontologique et méthodologique de l'évaluation professionnelle au CNRS; chaque section du Comité National de la Recherche Scientifique publie lors de son renouvellement les critères qui seront employés pour mener l'évaluation des chercheurs et des laboratoires.   

Les mots-clés fréquemment rencontrés comprennent la "production" scientifique, l'adéquation des recherches entreprises avec le contexte scientifique, leur rayonnement national et international, le rôle dans la formation de docteurs, l'animation et la valorisation scientifique.   

En pratique, toutefois, les critères bibliométriques (nombre de publications dans des revues ou chez des éditeurs considérés comme pertinents) demeurent prépondérants.   

La direction du CNRS   

Catherine Bréchignac a été nommée depuis le 11 janvier 2006 présidente du CNRS suite à la démission de Bernard Meunier, le 5 janvier 2006.   

Mme Bréchignac était directrice générale du CNRS de 1997 à 2000.   

Arnold Migus a été nommé directeur général du CNRS le 18 janvier 2006 suite à la mise à l'écart de l'ancien directeur Bernard Larrouturou.   

Le CNRS en chiffres   

Au 1er janvier 2003, il y avait 26 167 personnes travaillant au CNRS.   

Au 1er janvier 2004, ils étaient 26 080.   

Le budget du CNRS s'élevait à 2 214 M€ en 2004.   

L'échelle des salaires va de 1 260 euros (salaire brut minimal d'un adjoint technique de la recherche début de carrière) à 6 032 euros (pour un directeur de recherche hors classe, fin de carrière).   

Plus de 4 000 brevets actifs   

Les pôles où intervient le CNRS :

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IFREMER (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer)

IFREMER


L'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) est un établissement public à caractère industriel et commercial.   

Missions   

Les missions sont les suivantes :   

- connaître, évaluer et mettre en valeur les ressources des océans et permettre leur exploitation durable   

- améliorer les méthodes de surveillance, de prévision d'évolution de protection et de mise en valeur du milieu marin et côtier   

- favoriser le développement économique du monde maritime.   

Direction   

L'actuel PDG est Jean-Yves Perrot qui a été nommé en mars 2005.   

Domaines d'activité   

L'Ifremer concentre son action dans les domaines suivants :   

- gestion de l'environnement littoral   

- gestion de ressources vivantes marines   

- recherche océanique

- ingénierie et technologie marine    

- gestion de navires océanographiques et d'outils d'intervention sous-marine   

- expertise d'intérêt public (surveillance de l'environnement littoral et contrôle de la qualité des produits de la mer)   

- le transfert vers les entreprises et la valorisation de ses activités.   

Coopérations Internationales   

L'Ifremer participe activement aux travaux de l'Union européenne (programmes de la DG Recherche et de la DG Pêche) et au Marine Board de la Fondation Européenne pour la Science (ESF).   

Il est aussi membre des organisations internationales dans son domaine de compétence (Commission générale des pêches en Méditerranée, Commission Océanographique Intergouvernementale, convention Ospar, Conseil International pour l'Exploitation de la Mer).   

Il contribue aux programmes internationaux de recherche (étude du climat, de l'environnement et de la biodiversité).   

Il anime de nombreux accords bi-partenariaux (Japon, États-Unis, Canada, Australie, pays européens).   

Implantations géographique   

L'IFREMER est présent dans 25 sites répartis sur tout le littoral métropolitain et dans les DOM-TOM.   

L'Institut est composé de 5 centres (Boulogne, Brest, Nantes, Toulon et Tahiti), d'un siège social (Issy-les-Moulineaux) et d'une vingtaine de stations rattachées à ces centres.   

Les pôles où intervient  l’IFREMER :

Observatoire_des_p_les_Images_Page_09

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INRA (Institut national de la recherche agronomique)

INRA

Créé en 1946, l'Institut national de la Recherche agronomique (INRA) est un établissement public à caractère scientifique et technologique placé sous la double tutelle du ministère de la Recherche et du ministère de l'Agriculture et de la Pêche.

Cet institut est composé de chercheurs, souvent issus des écoles nationales supérieures agronomiques (ENSA), de techniciens et d'administratifs.

Quelques unes de ses missions

- mieux nourrir les hommes et préserver leur santé

- gestion de l'espace, des ressources naturelles et de la biodiversité, valorisation des déchets

- favoriser l'emploi en identifiant les déterminants de la compétitivité

- diversifier les produits et améliorer leur compétitivité et leur qualité

- connaître le vivant et développer le génie des procédés : structure et fonction de génomes modèles, génomique et physiologie des organismes, technologies de transformation et de conservation.

Quelques données

8 850 chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs, 1 200 doctorants, 14 départements scientifiques, 21 centres régionaux (d'après le site de l'INRA, 2005).

Les pôles où intervient  l’INRA :

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INRIA (Institut national de recherche en informatique et en automatique)

INRIA

L'Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA) est un organisme public civil de recherche français créé le 3 janvier 1967 suite au lancement du Plan Calcul.   

Son ambition est de mettre en réseau les compétences et talents de l'ensemble du dispositif de recherche français, dans le domaine des sciences et technologies de l'information.   

Le premier centre, celui de Rocquencourt, est situé dans les anciens bâtiments du quartier-général de l'OTAN en Europe.   

La fondation de l'INRIA date de 1967 sous le nom d’IRIA (Institut de Recherche en Informatique et en Automatique).   

L'INRIA a une structure décentralisée qui comprend 6 centres de recherche :   

- unité de recherche Futurs (Lille, Saclay, Bordeaux)   

- unité de recherche Lorraine (LORIA)   

- unité de recherche Rhône-Alpes (Montbonnot-Saint-Martin)   

- unité de recherche Rennes (IRISA)   

- unité de recherche Rocquencourt   

- unité de recherche Sophia Antipolis   

Président directeur général   

Depuis le 3 mai 2006 : Michel Cosnard   

Les pôles où intervient  l’INRIA :


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INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale)

INSERM

L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) est un établissement public à caractère scientifique et technologique (EPST), placé sous la double tutelle du Ministère de la Santé et du Ministère de la Recherche.   

Créé en 1964, l’Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Ses chercheurs ont pour vocation l’étude de toutes les maladies des plus fréquentes aux plus rares, à travers leurs travaux de recherches biologiques, médicales et en santé des populations.   

Mission   

La mission première de l’Inserm est de faciliter les échanges entre :   

- la recherche fondamentale, définie parfois comme « guidée par la curiosité », celle dont le but est d’éclairer l’inconnu, sans but précis   

- la recherche clinique, celle qui se fait auprès du patient   

- la recherche thérapeutique ou diagnostique, dont le but est l’étude des maladies   

- la recherche en santé publique, qui s’attache à mieux connaître les mécanismes de la santé par l’étude de groupes de populations notamment.   

Pour remplir cette mission, l’Institut a été conçu dès l’origine dans un partenariat étroit avec les autres établissements de recherche publics ou privés, et les lieux de soins que sont les hôpitaux.   

L’Inserm en chiffres   

Aujourd’hui, 85% des 360 laboratoires de recherche Inserm sont implantés au sein des Centres hospitalo-universitaires, ou des Centres de lutte contre le cancer, les autres étant situés sur les campus de recherche du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ou encore des instituts Pasteur ou Curie.   

On compte :   

- 360 laboratoires Inserm   

- 24 Centres d'investigation clinique (CIC)   

- 13 000 personnels dont 6 500 salariés Inserm   

- 400 entreprises partenaires de l'Inserm   

- 1 000 contrats avec l'industrie   

- 600 portefeuilles de famille de brevets   

- 60 jeunes entreprises innovantes   

Les pôles où intervient  l’INSERM :

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