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22 janvier 2012

Rendre plus forte la recherche végétale angevine

Publié le 18 janvier 2012

Regroupement des laboratoires sous une même bannière, complémentarité des équipes et mutualisation des moyens techniques…, la recherche végétale angevine se structure. De quoi renforcer le pôle de compétitivité Végépolys.

Mieux structurer la recherche végétale angevine pour lui donner plus de lisibilité et de cohérence. C’est l’enjeu de l’Institut de recherche en horticulture et semences (IRHS) tout récemment créé et dévoilé à l'occasion du Sival, le salon angevin des productions végétales.

"Ce tout nouvel institut réunit désormais 220 chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs et techniciens des laboratoires de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), d’Agrocampus Ouest et de l’université d’Angers auparavant dispersés dans quatre anciennes unités de recherche", explique Jean-Pierre Renou, son directeur.

L’intérêt d’une telle démarche : "faciliter l’approche pluridisciplinaire de la recherche végétale angevine et jouer à fond la complémentarité des connaissances", détaille Jean-Luc Gaignard, de l'INRA. Chacun apporte son expertise : généticiens, sélectionneurs, phytopathologistes, physiologistes, biochimistes, éco-physiologistes, modélisateurs et statisticiens.

Cela va également conforter la position internationale de la recherche angevine. Une expertise déjà reconnue à travers le pilotage de projets européens, dont le Fruit-Breedomics.

Mutualiser aussi les moyens techniques

Dans le même temps, la structure fédérative de recherche Qualité et santé du végétal, initiée dès 2008, se renforce en intégrant deux laboratoires de l’école supérieure d’agriculture d’Angers (Esa).

Au total, la structure rassemble désormais 450 personnels de recherche, dont les forces vives de l’IRHS bien évidemment, mais aussi des partenaires du Grand Ouest : le GEVES, le centre d'innovation Végépolys, les universités de Nantes et Rennes...

L’objectif est cette fois la mutualisation des plateaux techniques et des équipements de recherche particulièrement onéreux.

"Cela nous permet aussi de confronter nos projets avant d’aller solliciter les financements et, ainsi, de pouvoir nous concentrer en priorité sur les projets servant l’intérêt commun", indique Elisabeth Chevreau, directrice adjointe de la structure.

Deux démarches qui renforcent la recherche végétale angevine et sa place au sein du pôle de compétitivité internationale Végépolys(1).

(1) Le pôle de compétitivité internationale Végépolys, présidé par Jacques-Antoine Cesbron repose sur trois piliers : la recherche, la formation et les entreprises.

Voir: http://www.angers.fr/actualites/detail/?tx_ttnews%5Btt_news%5D=4268&cHash=d83999d740

PB VEILLE CONSULTING
L'information au service de l'entreprise
http://www.pb-veille-consulting.com

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