Technologies « sans contact » : Cinq nouveaux projets sur les rails !

Cinq des neufs projets présentés au printemps par le pôle de compétitivité Transactions électroniques sécurisées (TES) ont été retenus par la Direction Générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services (DGCIS). Une annonce qui renforce le positionnement de TES comme « berceau du « sans contact » ».
Uu lendemain de la nomination de son nouveau directeur, Paul Faivre Pierret, le pôle de compétitivité caennais Transactions électroniques sécurisées (TES) a annoncé vendredi 11 septembre la labellisation d’une nouvelle vague de projets de services mobiles sans contact. Au printemps dernier, le pôle avait proposé 9 initiatives innovantes dans ce domaine répondant à l’appel à projets lancé par la Direction Générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services (DGCIS) au mois d’avril. Cinq d’entre elles ont finalement été retenues ! Pour la DGCIS, il s’agit de favoriser le développement de projets collaboratifs en vue de développer de nouvelles applications basées sur les étiquettes électroniques RFID et la technologie NFC. Pour Paul Faivre Pierret, ces nouvelles labellisations «confortent le positionnement de la région Basse-Normandie et de son pôle de compétitivité comme le berceau du « sanscontact » ».

Des applications variées

Les projets retenus montrent un bel éventail des applications potentielles des technologies « sans contact ». Le projet ALTESS vise ainsi à développer une plateforme sécurisée regroupant des services comme le paiement en ligne, le rechargement de titres de transport ou encore l’identification et l’authentification lors de l’accès aux sites sécurisés. Même ambition pour le projet Smart Park, qui propose ni plus ni moins de réinventer le parking en regroupant l’ensemble des services, du paiement électronique, au contrôle d’accès, en passant par la gestion des abonnements et de la fidélité, par le biais d’une seule et unique étiquette électronique. Les projets MUST, MoBeMO et Nice future campus entendent quant à eux allier les possibilités des étiquettes électroniques « sans contact » à celles de la téléphonie mobile. Le premier pour développer un service« e-tourisme »sur le site du Mont St Michel, le second pour remplacer le badge d’entreprise, et le dernier pour créer la première carte d’étudiant virtuelle multiservice en Europe.

15 septembre 2009, Johannes Braun

Voir: http://www.innovationlejournal.com/spip.php?article4607